Audimat circus de Thierry Maugenest par morgan
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Audimat circus de Thierry Maugenest par morgan
Sullivan Chance vit à Buddyburg et est repéré par un producteur audiovisuel, Gordon Littelfree, qui voit en lui le plus grand looser des Etats-Unis et saute sur l'occasion : il en fait le héros improbable de sa nouvelle série de télé-réalité, le Phileas Challenge.
Le principe en est simple : Sullivan Chance doit faire le tour du monde en 80 jours, sans aucune ressource, pour gagner 3 millions de dollars.
Sullivan part donc, sans enthousiasme démesuré, et fait tranquillement son chemin autour du globe, autant physiquement que psychologiquement.
Il est animé d'un seul objectif : la connaissance de soi et la quête de l'amour (Ayosra) en particulier. Il apparaît petit à petit bien différent de ses apparences, et devient vite le symbole de toute une génération. Il crée le Wander- Travelling, les gens le pratiquant sont
surnommés les Wandys.
Au retour de son aventure, quelqu'un lui tire une balle dans le dos et Sullivan meurt. Le narrateur suit sa trace, et, de rencontres en découvertes, tente de comprendre qui a bien pu assassiner Sullivan, et pourquoi, sans se douter un seul instant du retournement de situation qui l'attend.
Pour ma part, l'influence du roman de Jules Verne Le Tour du monde en 80 jours se voit dès qu'on regarde la première de couverture. On peut imaginer le même scénario sans surprise. Mais la rêverie du personnage principal m'a incité à lire la suite pour savoir comment son expédition allait se terminer. Qu'allait-il devenir après ? Il y a également des moments amusants comme sur le bâteau avec les posters des femmes et les mélanges d'alcool ... qui ont fait que ce livre m'a beaucoup plu.
La phrase que j'ai retenue est : "Quand il évoqua devant moi l'époque de sa vie passée près du lac Dal, Sullivan Chance me dit avoir compris que le monde entier n'était qu'une chimère, un simple mouvement d'écume au-dessus des grands fonds."
Le principe en est simple : Sullivan Chance doit faire le tour du monde en 80 jours, sans aucune ressource, pour gagner 3 millions de dollars.
Sullivan part donc, sans enthousiasme démesuré, et fait tranquillement son chemin autour du globe, autant physiquement que psychologiquement.
Il est animé d'un seul objectif : la connaissance de soi et la quête de l'amour (Ayosra) en particulier. Il apparaît petit à petit bien différent de ses apparences, et devient vite le symbole de toute une génération. Il crée le Wander- Travelling, les gens le pratiquant sont
surnommés les Wandys.
Au retour de son aventure, quelqu'un lui tire une balle dans le dos et Sullivan meurt. Le narrateur suit sa trace, et, de rencontres en découvertes, tente de comprendre qui a bien pu assassiner Sullivan, et pourquoi, sans se douter un seul instant du retournement de situation qui l'attend.
Pour ma part, l'influence du roman de Jules Verne Le Tour du monde en 80 jours se voit dès qu'on regarde la première de couverture. On peut imaginer le même scénario sans surprise. Mais la rêverie du personnage principal m'a incité à lire la suite pour savoir comment son expédition allait se terminer. Qu'allait-il devenir après ? Il y a également des moments amusants comme sur le bâteau avec les posters des femmes et les mélanges d'alcool ... qui ont fait que ce livre m'a beaucoup plu.
La phrase que j'ai retenue est : "Quand il évoqua devant moi l'époque de sa vie passée près du lac Dal, Sullivan Chance me dit avoir compris que le monde entier n'était qu'une chimère, un simple mouvement d'écume au-dessus des grands fonds."
Morgan- Nombre de messages : 4
Age : 31
Date d'inscription : 09/01/2009
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